Le Pavillon, Didier Marcel. A65 – Captieux, 2017. Programmation : Didier Arnaudet.
Cette œuvre implantée entre la forêt et l’autoroute unit la vision de l’automobiliste et du promeneur. Elle combine trois fûts massifs surmontés d’une tente canadienne dont l’échelle a été réduite pour accentuer la hauteur de « perchement ». Les différents éléments en résine polyester sont des moulages réalisés avec une extrême précision afin d’exalter la finesse ornementale des écorces et du drapé. L’empilement rudimentaire affirme l’allure «bûcheronnée» de l’édifice. La sculpture émerge de façon inattendue dans le paysage comme un signal qui met en résonance l’arbre et l’habitat. C’est un moment de respiration où la nature et le construit retrouveraient une harmonie originelle. Ses occupants fictifs nous rappellent la présence discrète des oiseaux. Ce perchoir invite à une expérience exceptionnelle.
Le Pavillon, Didier Marcel. A65 – Captieux, 2017. Programmation : Didier Arnaudet.
Cette œuvre implantée entre la forêt et l’autoroute unit la vision de l’automobiliste et du promeneur. Elle combine trois fûts massifs surmontés d’une tente canadienne dont l’échelle a été réduite pour accentuer la hauteur de « perchement ». Les différents éléments en résine polyester sont des moulages réalisés avec une extrême précision afin d’exalter la finesse ornementale des écorces et du drapé. L’empilement rudimentaire affirme l’allure «bûcheronnée» de l’édifice. La sculpture émerge de façon inattendue dans le paysage comme un signal qui met en résonance l’arbre et l’habitat. C’est un moment de respiration où la nature et le construit retrouveraient une harmonie originelle. Ses occupants fictifs nous rappellent la présence discrète des oiseaux. Ce perchoir invite à une expérience exceptionnelle.
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